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Les corses
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Un corse débarque à Marseille. Ses amis lui avaient dit :
Tu verras, là-bas, l’argent, il suffit de se baisser pour en ramasser. Justement sur le quai quelqu’un a laissé tomber une liasse de billets de 500F. Le corse passe son chemin en disant :
Je ne vais quand même pas travailler dès mon arrivée.
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Un jour, un corse sort sa carabine et arrête la voiture d’un touriste sur la route en contrebas et le fait sortir. Puis, en le menaçant de son arme, il lui ordonne :
Enlève ton pantalon. Le touriste, hésite, et puis il obéit.
Branle toi. Le touriste proteste, mais finit par s’exécuter quand le corse arme son fusil.
Tu as fini ?
Oui.
Alors recommence ! Et le touriste recommence. Au bout d’un certains nombre de fois, épuisé, il tombe à genoux et dit au corse :
Je n’en peux plus. Tue-moi si tu veux, mais je ne le ferai pas une fois de plus.
Tu es certain ?
Oui, tue moi. Alors le corse se retourne et crie :
Marianna, ma fille, tu peux venir, le monsieur va te conduire en ville.
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Deux Corses, le père et le fils, discutent à l’ombre d’un olivier.
Dis-moi, Dominique, mon fils, tu n’as jamais travaillé.
Eh non, papa. Tu le sais bien que je n’ai jamais travaillé. Dans la famille, il n’y a que les femmes qui travaillent !
Eh oui, mon fils. Et justement, c’est de ça dont je voulais te parler. Tu as quarante ans, maintenant. Ta mère et moi nous nous faisons vieux, il serait peut-être temps que tu te trouves une femme. On peut t’en presenter, si tu veux. Elle pourrait travailler pour toi et avoir des enfants qui t’apporteraient l’anisette, comme tu le faisais pour moi quand tu étais petit.
Papa, c’est une bonne idée. Je vais me marier et avoir des enfants. Dis, tant qu’à faire, tu pourrais m’en présenter une qui soit déjà enceinte ?
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Deux corses, Tonio et Francisco, sont assis sur un banc au bord d’une route. Une voiture passe en trombe devant eux et une malette tombe du coffre et glisse juste devant nos deux compères. La malette s’ouvre, elle est pleine de dollars ! Francisco se penche lentement vers son voisin et lui dit :
Oh, Tonio, si le vent se lève, on est riche ...
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C’est un papy corse qui va bientôt mourir,et qui décide de donner son pactole amassé au cours de sa vie à son fils qui lui ressemble le plus, c’est-a-dire le moins courageux. Il appelle son premier fils, Felippe :
Dis, mon fils, tu es dans le désert, devant toi à cinq metres il y a une oasis où tu trouveras à boire et à manger. Que fais-tu ?
Ah non, mon père. Cinq mètres, c’est trop loin, je meurs sur place.
C’est bien mon fils. Il appelle son second fils, Antonio :
Dis mon fils, tu es dans le désert, devant toi à un mètre, il y a une oasis où tu trouveras à boire et à manger. Que fais-tu ?
Ah non, mon père. Un mètre, c’est trop loin, je meurs sur place.
C’est bien mon fils.
Il appelle enfin son troisième fils, Francisco, qui lui crie :
Ah non, mon père. C’est toi qui vient !
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Le drapeau communiste Corse
Comment est le drapeau communiste Corse ?
Rouge sans les outils.
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C’est un corse qui cherche du travail
C’est un corse qui cherche du travail. Connaissant l’autoroute entre le nord et le sud de l’île, il se décide d’aller voir si par hasard, il n’y aurait pas un boulot pour lui à l’équipement. On lui propose de peindre des bandes blanches tout le long de l’autoroute. Il accepte. 1er jour : il fait 100 mètres de ligne blanche. 2eme jour : il fait 50 mètres 3eme jour : il fait 25 mètres 4eme jour : il fait 10 mètres Le 5eme jour, le chef vient le voir et lui dit :
Ok, pour le premier jour. 100 mètres c’est pas tellement, mais ça passe. Mais les jours suivants, pourquoi as-tu diminué les mètres ? L’autre lui répond :
Chef, plus j’avance et plus le pot de peinture est loin !
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